Impression futile

Profond dans les bois, où plus grand âmes vivait, il y avait une clairière dont la chaleur était réconfortantes, tous pouvait y passer plusieurs jours, sans s'en apercevoir et sans avoir besoin que d'un sommeil réparateur. Cette clairière avait, selon les sages de la régions, des facultés magique.

Dans cette clairières, depuis quelque temps, il se produisait des évènements étrange, des disparitions, des vols ou encore simplement un sentiments d'être suivit. Nul ne pouvait savoir se qui se déroulais réellement, ou ne voulait.

Les voyageurs étaient de plus en plus rare, mais les habitant de la place se faisait de plus en plus douteux vis a vis eux. Les taverniers montaient leurs prix et allaient même jusqu'à refuser d'héberger un voyageur aux aires trop douteux.

Les rumeurs était fonder, il se passait réellement quelque chose dans le creux de la forêt enchantée. Plusieurs aventuriers ayant entendus parler de ces étranges phénomènes se rendirent sur les lieux mais repartir changer et souvent refermer sur eux autre même.

Mais à l'aurore d'un matin de printemps, très prometteur pour les travaux aux champs. Un nouveau aventurier arriva en ville, ayant le gout de l'aventure, il s'informa sur les légendes local et entendus vite parler de l'ombre de la clairière. Il se rendit sur place pour en savoir plus.

Au milieu de la clairière se tenait une réelle ombre. Peut-être celle d'un arbre? Et pourtant, il n'y en avait pas. Régnait en ces lieu une atmosphère de tristesse, soupoudrée d'un frisson à glacer le sang. Quelle était cette chose, se tenant au loin? Que pouvait-elle bien faire là?

On n'entendait encore que le vent. Rien, absolument rien. Tout semblait vide et si plein à la fois. C'était un vide près de celui qui peut règner sur une plaine après un combat sanglant. Ce vide d'après guerre, pesant d'une victoire aussi lourde de remors qu'un échec.

Arrivez sur les lieux, le jeune homme fut pris de court par la véracité de cette légende, il s'attendait visible à autre chose.

"Mais qu'elle est cette magie?"

En parlant, le masque du coté gauche de son visage ne bougeait point. Le masque d'acier reflétait le soleil. De sa cape noir, qui lui couvrait ses épaules, il sortit des mains, couvertes de mince gant de cuir noir. Malgré l'incertitude dans sa voix, son visage était de glace vis-a-vis cette situation pourtant étrange.

S'approchant tranquillement de cette ombre au centre de la clairière, tous en étant sur ses gardes, il avait enlever son capuchon qui lui obstruais la vue.

L'ombre resta immobile à son approche. Il était impossible d'en distinguer une forme concrète. Ce n'était à près tout peu-être qu'un tas de roche... Mais le vent qui soufflait sur la plaine semblait vouloir avertir le jeune homme d'une autre chose... Une chose plus grande... Il semblait vouloir lui murmurer aux oreilles un sentiment de solitude. C'était une impression terrible que de ressentir la véritable solitude, celle ou il n'y a personne et dont la certidude est fondé qu'il n'y aura plus jamais personne, ou simplement de réalliser qu'on a jamais réallisé à quel point la solitude pèse lorsqu'on ne l'a pas nécéssairement commandée. La solitude c'est d'abors un cri que les autres n'arrivent pas à saisir, à comprendre, et puis voilà, on est seul car on est l'unique à comprendre tout le sens et l'importance que nos actions ont pour nous.

Elle était là l'ombre. Qu'une âme que la solitude avait tranformé en misérable tas de pierre. C'est ce qu'on aurait pu croire. Peut-être n'était-il pas trop tard, peut-être restait-il des page à lire et à comprendre?

Sans avertissement, Kal'Torak sortit une dague qu'il lança à quelques centimètres du sommet de l'ombre. En attendant un réflexe quelconque, il sortit une deuxième dague sortit de sa cape. Ce sentiment de solitude, qui avait provoquer ce mouvement plus intuitif que réfléchi, il le connaissait qui de mieux placer pour le comprendre, qu'un jeune homme persécuter depuis son enfance, que le meurtrier d'un village complet, qu'un voleur pris en plein délit et un de plus qui est masqué d'un coté de son visage.