Sur une falaise

Maryse, assise sur une falaise, dominant l'océan de là où elle était, regardait l'horizon d'un regard fixe, sous la lune et les étoiles. l'aube approchait, mais elle voulait encore profiter de la nuit, sans sa cape, seule, enfin, selon ce qu'elle croyait.

Ses cheveux rougeâtres qu'elle avait laissé détachés tombaient en cascade dans son dos, dissimulant ce que les fils du corsets ne cachaient pas. Elle avait un peu froid mais elle préférait celà à être étouffée sous sa cape. Ses nombreux jupons (coupés de façon méthodique pour ne pas l'obstruer et cacher les quelques étages de cottes de maille) étaient étalés autour d'elle, dissimulant ses jambes. Elle avait retiré sa ceinture d'arme et ses bottes mais gardait un saï à porté de main, pour ne pas prendre de risque.

Elle avait fermé les yeux et écoutait avec attention se qui se passait autour d'elle, quoique perdant peu à peu conscience du monde. Voilà bien une semaine qu'elle ne dormait pas ou très peu, sa vigilence était quasi absente. Une cible si facile...

Un demi sourire laissa entrevoir ses canines de demi-vampire et son cou blanc était offert aux rayons de la lune. Malgré quelques protections de fine cotte de maille, son corps découvert était si fragil`; un rien et on la blessait; un rien et on la tuait.

La lune produisit une ombre inhabituelle prêt d'un arbre, cette ombre avait un forme humaine, de taille élancer et plus grand que la moyenne. L'ombre se déplaçais d'un arbre un autre. Ne voulant pas être repérer elle ne faisait casiment aucun bruit, mais sa cape qu'il gardait lui frottait sur les hautes herbe qui l'entourait. Rendu a proximité d'un volée de flèche l'ombre s'imobilisa sous un arbre de grosse envergure.

Il sembla à Maryse entendre un bruissement inhabituel, mais elle n'y prêta pas attention, préférant penser à son voyage. Il fallait continuer de marcher, toujours, sans destination. Un jour elle trouverait cette destination...

Un premier rayon du soleil vint frapper sa peau et un picottement fort peu agréable se fit ressentir. Elle rattacha donc ses cheveux en chignon et reprit sa ceinture d'arme, ses bottes et se couvrt de sa cape. Il fallait recommencer à voyager maintenant.

Elle se retourna et vit alors une ombre. Descendant sa cape pour ne pas qu'il voit ses yeux, elle sortit deux saïs et lança:

"Qui êtes-vous et que faites-vous ici?!"

Ouf, il aurait pu la tuer... le soleil l'avait pour une fois sauvé.

L'ombre étant repérer sortit tous bonnement de sa cachette improviser et se dirigea vers la nouvelle venue. Rendu a quelque coudé de distance, il arrêta et commença a la regarder.

Recouvert d'une cape de grande envergure, rien ne parraisait de lui hormis ces bras, croiser sur son torse et sa tête dont un masque recouvrait le coté gauche de sa figure en entier.Il n'avait aucune arme dans les mains. Un peu plus grand que la moyenne des hommes mais mince. Le métal, du masque, reflétait la lumière de l'aurore qui était dans le dos de la jeune femme. Après son examen minutieux de la demi vampire, il s'adressa a elle:

"Qui je suis? Tu veux savoir qui je suis? Et de plus tu veux savoir se que je fais ici? Je répond a ta question: Je suis moi et se que je fais ici est tous simplement te regarder."

Sa vois était comme un soufle de vent, Maryse dut même approcher un peu pour bien l'entendre. Après ces réponses sans aucune valeur, l'ombre éclata de rire trouvant drôle sa propres blague. Il s'adressa de nouveau a elle:

"Maintenant que j'ai répondu a tes questions a ton tours. Qui est tu pour profaner le territoire de mes amis et moi?"

Sentant qu'il l'observa, elle ressera les pans de sa cape, baissant sa capuche pou rne pas qu'il voix ses yeux. Simplement ses crocs qu'elle laissait entrevoir dans un semblant de demi-sourire.

"Le territoire de toi et tes amis? laisse moi rire... la notion de propriété est tellement... idiote et inutile... mais enfin, qu'importe..."

Elle réfléchit quelques instants. Et s'il n'était pas seul? et si ses "amis" se cachaient autour... elle devait être prête à se battre.

"Qui je suis est une question totalement inutile... j'suis qu'une voyageuse qui prenait une pause ici pour regarder la lune... et maintenant je repars. Tu y as objection? j'ai profané donc je dois payer? j'suis prête à me défendre, j'ai pas peur"

Sa voix avait pris un ton de défi et de provocation, mais elle craignait un peu la possibilité de devoir se battre... pas contre ce jeune homme, plutôt contre ceux qui pourraient acompagner ce jeune homme.

Torak remarqua les dents de la demie vampire. Il eu un mouvement de recul.

*Une vampire, en ces terres, cela fait longtemps que nous n'en avions pas vue. Peut-être un peu d'exercice!*

Mais, il fut remplacer par un sourire énorme qui fit même bouger le masque qui était fixer a sa peau. Il s'adressa a elle avec une voix doucereuse:

"Tu a de belles dents. Le fait que tu sois sur notre territoires n'implique rien en particulier, hormis que les accidents sont considérer comme des accidents. Je te laisse une dernière chance de me dire qui tu es, sinon tu pourrais le regretter."

Torak avait toujours les bras croisés sur son torse et n'arrêtait pas de sourire. Il attendait la moindre réaction de sa potentielle adversaire.

Elle trouvait que la situation avait quelque chose de drôle. Elle n'avait pas peur et avait bien envi de rire. En le voyant reculer, elle se sentit plus confiante en elle-même, assez pour y aller avec un ton de défi.

"Bon bon... des menaces maintenant? Les accidents sont très rares dans mon cas..."

Elle eut un petit rire en le regardant, réfléchissant pour ne pas dire n'importe quoi. Elle lui laissa entrevoir ses yeux rouges sang. Se battre ne serait pas mauvais, mais la route était longue, elle ne pouvait pas se permettre de se blesser ou de perdre du temps...

"Des belles dents... ouais... c'est un cadeau de naissance de la part d'un vampire... et je te le répète... je suis une simple voyageuse, le nom n'a aucune importance. T'inquiète, j'suis pas une bête assoifée de sang, j'ai pas l'intention de te faire du mal si tu ne m'en fais pas... "


Elle le fixa de son regard vermeil et lui lança finalement:

"à mon tour les questions... pourquoi tu portes ce masque?"

"Tu est une vampire alors." Torak souriant toujours se retourna de bord sans s'occuper plus de Maryse et alla derrière l'arbre d'où il était sortit. L'ombre que projetait le soleil, disparue après quelque seconde après avoir disparue derrière l'arbre.

La demi vampire sentit un que son capuchon était déplacer. Pourtant, il n'y avait aucun vent. Ce n'est qu'au dernier moment qu'elle s'aperçut que Torak était en arrière d'elle. Il était collé sur elle et avait retirer le peu du capuchon qui cachait sa tête. Elle sentit une dague se glisser le long de son cou, avec une abilité inouïe. Elle put sentir la lame se presser doucement sur sa peau. Le métal froid entra en contact de sa peau. Il lui murmura au creux de son oreille:

"Ne t'inquiète pas, tu n'es pas la première que je prend comme sa. Maintenant, je te laisse une dernière parole, réfléchi bien, ce son tes dernières."

(H.-J. Si tu ne comprend pas c'est normal, mais Kal'Torak a le pouvoir de se téléporter.)

[h-j ok ok ^^]

Il fallait réfléchir vite, très vite. Elle avait toujours son saï dans la main. Elle avait toujours sa ceinture d'arme. Mais avant la violence, la diplomatie.

"eh, j'ai pas dit que j'étais vampire... je ne le suis qu'à moitié... alors repenses-y avant de vouloir me tuer... j'suis sûre qu'on peut regler ca différement..."

elle eut une idée....

"Oh, là, dans le bois... y'a de quoi qu'y'a bouger!" lança-t-elle pour qu'il soit déconcentré.

Discrètement, elle avait emmené son saï près du poignard et la très petite lame bien affilée pouvait facilement se glisser entre son cou et le poignard. Elle ferma les yeux, elle voulait se concentrer. D'un mouvement vif et précis, elle repoussa le poignard, frappa le tibia de son ennemi avec sa botte et réussi tant bien que mal à se détacher de lui, remettant son capuchon et sortant un cimeterre dans son autre main.

"Tu veux me tuer? ben faudras tu me battes! et de façon loyal, pas avec la magie. On peut aussi regler ça par la diplomatie... ou simplement si tu me laisses partir... "

*Demis-vampire!!!!*

Ces mots seul sufire a le détourner de sa priorité, le stratège de faire imaginer quelqu'un dans le bois n'avait rien provoquer chez lui. Cela lui pris plusieur seconde pour réaliser que sa prisonière lui avait échaper.

"Comment peux-tu être demie-vampire? Je ne comprend pas. Je ne comprend pas comment on peut être demi-vampire. Tu ne peux exister. C'est impossible."

Amusée, elle lui lança:

"C'est possible puisque je suis devant toi!"

Il semblait moins offensif. Elle ne prit pourtant pas de chance et resta sur ses gardes.

"J'ai tout d'une vampire (bon, presque) sauf l'envi de sang. Le sang ne m'est pas vital et le soleil ne m'est pas mortel. Sauf que j'aime bien le sang (ça remplace plusieurs repas) et que le soleil est très... désagréable"

Elle le regarda droit dans les yeux, dans le plus profond de ses iris. Ses yeux étaient couleur de sang. En effet, elle avait le charisme et la beauté des vampires, la peau très pâle mais les lèvres et les cheveux vermeils venant lui donner un air mystérieux. Et sous sa cape elle avait une silhouette parfaite, ni trop frêle ni trop musclée.

"Je tenterai pas de te bouffer ni de te tuer... si tu me fiches la paix"

"Je ne veux ni te laisser la paix, ni me faire mordre par toi. Par exemple, il y a quelque chose que je veux de toi. Et je doute que tu te résigne a me l'offrir."

Torak avait retrouver sa stabilité mental et était a présent sur ses gardes. Il suivait chaque de ses mouvements.

"Se que je veux c'est simple, répond a cette question et je verrais."

Il laissa en suspent la question et repris après être sur de son coup.

"Tu as dit que le soleil t'étais désagréable. Mais quand est-il de la lune?"

Elle eut peur qu'il lui demanda quelque chose qu'elle ne pouvait pas ou ne voulait pas lui offrir mais cette simple question ne l'effrayait pas.

"La lune ne me blesse pas comme le soleil le fait. Sa lumière n'est pas aussi forte. Et je peux savoir pourquoi tu T'intéresses à cela?"

à la longue, cette discussion l'énervait. Elle avait envi de partir et elle ne voulait pas se battre pour ce faire. Mais si nécessaire, elle combatrait.

"Répond seulement à ma question. Tu l'aime et la chérie comme les autres vampires car elle est libératrice de tes souffrances du jour? Où alors tu es comme tous les autres êtres humains et tu es indifférent a son sort."

Torak semblait prendre se sujet de conversation avec coeur. Il devait savoir, il serait prêt a tous pour savoir comment agissait cette nouvelle race qu'il ne connaissait pas, les Demi-vampires. Il n'avait jamais entendu parler d'eux.

"La lune est la seule lumière que je peux regarder droit dans les yeux sans souffrir.... mais je ne suis pas comme les autres vampires! je ne suis pas une bête qui tue sans raison la moindre vie, je ne suis pas lâche:si je dois tuer, je le fais en regardant ma victime droit dans les yeux... je... j'ai rien d'une vampire! je suis qu'une démone condamnée à subir les tourments des vampires!"

il la comparait à une vampire alors qu'elle luttait ocntre cette partie d'elle?

Elle commençait à s'énerver et à sentir l'instinct vampirique, sauvage et sanguinaire, prendre le dessus sur elle. Elle continuait à lutter mais elle aurait voulu sauter à la gorge et tuer ce trop curieux en lui ouvrant l'artère carothidienne....

En rage elle continua:

"Je suis loin d'être une vampire, moi.... Y'a un sal vampire qui a eu la lâcheté de tuer ma mère pendant qu'elle accouchait de moi alors j'ai hérité de nombreuses caractéristiques de ces monstres et... je lutte chaque jour pour ne pas tomber comme eux dans cette vie sauvage où le seul but est de tuer pour survivre... oui la lune est importante pour moi parce que pour une fois, sous ce soleil de minuit, je me sens moins vampire, je ne sens pas la lumiere qui brûle ma peau ou le regard des gens sur ma peau blême, mes crocs et mes yeux rouges... "

Elle ferma les yeux et tenta de reprendre son calme pour ne pas aller tuer cet innocent... incapable de le faire, elle préféra lui tourner le dos et s'enfuir.

Elle s'arrêta beaucoup plus loin, à l'ombre d'un arbre pour ne pas subir la lumière du jour, et ferma les yeux, plus calmes d'avoir étouffer sa rage. Elle se concentrait sur le rythme de son coeur qui devenait de plus en plus régulier malgré les sanglots et les larmes qui s'échappaient sur ses joues.

Torak attendit un instant avant de la suivre, à plusieurs, il l'a perdut de vue mais Torak était un maitre dans l'art du pistage. Il n'était peut-être pas aussi bon qu'un rodeur mais il avait eu souvent a traquer une proie, pas toujours animal. Quand elle arrètta finalement, il se cacha derrière un arbre. Voyant qu'elle pleurait, Torak qui connaissait se signe comme celui de faiblesse sortit de sa cachette et s'adressa a elle:

"Tu ne peu pas te sauver de moi a moins de posséder un pouvoir comme le mien mais tu n'en a pas a se que j'ai vue, puisque tu l'aurais utiliser depuis longtemps. Il n'y a que trois sollution. La première est la plus simple, je te tue et on en parle plus. La seconde, elle n'arrivera jamais, est que tu réussise toi a me tuer, mais cela ne te donnera pas ton salut. Puisque je ne suis pas le seul de mon clan, il y a des centaine et des centaines d'Immortelle comme moi qui te chaseront jusqu'a se que tu meurt pour me venger. Et la dernière vaut mieu pour toi que tu n'y pense pas."

Torak a la penser de cet action fut dégouter et il ne fit rien pour le cacher. La dernière solution était casiment toujours résolut par un échec.

*Jamais une autre créature comme s'elle ci ne sera accepter*

Ne voulant pas se montrer faible devant lui, elle essuya rapidement ses larmes et écouta avec attention ce qu'il disait. La première option était hors de question. La seconde... elle préférait l'éviter.

"Et la troisième? allez, dis donc de quoi il S'agit... tu ne sembles pas l'aimer. Eh bien je choisis la troisième option"

Elle agissait impulsivement mais celà lui plaisait. Elle avait repris son air fort et son impartialité, le regardant froidement. Le dégoût qui s'était lu dans sa physionomie l'avait intrigué, elle voulait savoir la raison.

"La troisième. Tu veux savoir en quoi elle consiste. Mais remarque, la majorité qui l'on choisit son mort. Et les quelques un qui sont encore en vie et bien, tu ne les reconnaîtrait probablement plus, en tant que vampire ou encore elfe noir."

Torak la regardait avec insistance comme si il voulait par la seul force de son regard la faire changer d'avis et de lui fair oblier ce mauvais pas qu'il venait de faire. Mais, il était trop tard. Il ne pouvait plus reculer. Il l'avait laisser en vie et lui avait même parler de cette oportunité pour elle.

"Si tu accepte, tu devra porter sa."

Torak sortit de sous sa cape un ruban de tissus noir qui était de toute évidence fait pour bander les yeux.

C'était dangereux que de lui faire confiance. Mais avait-elle vraiment le choix? Elle ne voulait pas reculer maintenant, elle était forte... et même les yeux fermés, elle pouvait se défendre. Si cela était nécessaire, elle le pourrait...

Elle soutint son regard et lui dit:

"J'ai pas peur. Mais si tu tentes de me tuer pendant que j'ai les yeux bandés... crois-moi, tu risques d'être en désavantage"

à cause de la lumière du soleil, elle avait parfois dû se battre les yeux fermés, apprendre à se débrouiller sans la vue...

Elle mit le bandeau sur ses yeux, glissant une main vers le long poignard accroché à sa ceinture, gardant la garde en main, par prudence.

"Bon eh bien... vas-y, dis moi quoi faire maintenant"

"Bien et ne crois pas que je ne connais pas ta SALE race."

Il incista sur cette insulte qu'il avait répéter des milions de fois.

"Ne t'inquiète pas, je ne veux plus te faire de mal. Si sa passe bien tu sera accepter, mais sa se passe mal tu serra enfermer. Tu ne crois tout de même pas qu'il n'y aurait pas de risque. Tu a les yeux bander pour ne pas reconnaître le chemain et je sais que vous les vampires savent se diriger avec vos autres moyens et c'est pour sa que devra aussi tourner sur toi même beaucoup de fois et pour finir je ne croirais pas qu'on te laisse pénétrer dans le sanctuaire ainsi armée."

Maryse sentit très bien le mouvement que Kal'Torak fesait vers ses armes.

Elle se laissa faire, consciente qu'il lui resterait toujours un court couteau bien caché. (hj je ne dirai quand meme pas où...) l'insulte ne l'avait pas blessée, tant elle était habituée.

"Bon eh bien je te laisses faire... mais n'essaies pas d'en profiter pendant que je suis sans défense... j'ai encore des crocs"

Elel était nerveuse mais tentait de le dissimuler.

"Hahaha, tu a encore tes crocs. J'en suis parfaitement consiante et je sais aussi que tu adore surement sucer le sang de pauvre créature sans défence dont le sang a un gout exquis. Mais sache qu'a la quantité de poison que j'ai dans le mien je te promet que tu ne t'y risquera pas une deuxième fois. C'est la particularité de notre "organisation.""

Kal'Torak insista sur le mots pour prouver quelque chose qui pouvait être interpréter comme une menace ou pour une alléchante proposition. Avant de continuer a lui parler il la poussa dans une direction avec la manifeste intention de lui montré le chemin a prendre.

"Ce poison est très simple. Il est a base de la seul chose que tu pourrais avoir a craindre. Tu connais surement cela, c'est de l'ail. Il est très éfficasse dans ces sirconstance. Nous nous injectons se merveilleux produit dirrectement dans nos veines. Alors il sircule dans nos corps et si il arrive que l'un de nous soit tuer durant une chasse, des personnes de ta races et bien, il ne serra pas déshonnorer par vos sal crocs. Si il t'aviendrait de me mordre je ne crois pas que tu apprécie beaucoup."

Juste a entendre sa voie Maryse pouvait un sentiment de fièrté et de supériorité se dégager de cette mystérieux humain. Marchant toujours en arrière d'elle pour la diriger mais sans lui toucher pour lui facilité la tache.

Elle se retint de lui répondre. Parce qu'au fond, l'ail... ça ne la tuait pas. Ça la rendait malade, certe... mais comme elle n'était pas entièrement vampire, que le besoin de sang pour survivre n'était pas présent, l'ail ne pouvait pas la tuer.

Elle commençait pourtant à craindre. Où l'emmenait-il? qu'allait-on y faire avec elle?

Elle ne laissa pas sa peur transparaître dans ses agissements mais elle réfléchissait déjà à une façon de s'en sortir. Docile, elle se laissait emmener.

"Stop! Tu dois maintenant tourner sur toi même pour te désorienté."

Il l'avait fait arrêter dans une clairière pour ne pas qu'elle s'accroche dans un arbres car c'était la procédure a suivre. Il devait la faire tourner sur soi même et faire beaucoup détours.

"Tu comprend cette langue?"

Torak parlait un dialecte étrange qui était parler plusieur ciècle plus tôt sur le continant.

Celà lui était familier. Son père le parlait parfois.... hésitante, elle répondit dans la même langue:

"Je crois que je peux me débrouiller..."

Pour autant qu'elle ne soit pas engagé dans une discussion, elle pourrait toujours se débrouiller pour comprendre et répondre.

"Bon, T'en as encore pour longtemps à me faire marcher ainsi?"