Les priants de la lunes

Prosterner sous la lune, une ombre noir parlait dans un langue que peut de personne pouvait comprendre. L'ombre se redressa et ramassa un objet sur le sol et l'apportat a son torse. Il pris une poigné de poussière et la jeta dans les aires. Ensuite, il se releva et commenca a marcher vers un lac. Une fois rendu il prit un peu d'eau et s'en asperga. Une fois son rituelle fini, il regarda autour de lui et commenca a contourner le lac.

Toujours en conduisant le même voilier volé, Zweilaylù avait accostée sur l'île de la Lune. Comme elle aimait la Lune !

Elle aurait pu être prêtresse de la Lune, mais non. Repensant à son passé, elle remarqua une ombre faisant le contour du lac.

"Qui est-ce ?" souffla-t-elle dans un murmure.

Elle était venue ici pour vénérer la Lune et non la déesse qui l'avait bannie de la Forêt Enchantée et de la Forêt Noire.

Elle s'approcha lentement de l'ombre. Silencieusement.

Le bruit des vagues venus se jeter contre la plage qui était quelque mètre du coté opposer de la rive du lac sur laqu'elle se tenait l'ombre. L'ombre s'immobilisa. Elle regarda a nouveau autour d'elle et étant convaincue qu'elle était seul elle commenca a crier se qui pouvait ressembler a une incatation dans la même langue que quelque seconde plustôt.

Zweilaylù ne pouvait point comprendre se que racontait cette étrange ombre dont la cape s'élevait dans le vent.

Curieux. L'ombre semblait psalmodier des incantations dans des langues inconnues, sûrement maudites ou bannies.

Même si cela inquiétait un peu Zweilaylù, elle s'approcha quand même, résignée à parler à cet étranger, de toute façon, il pouvait soit être vivant, ou mort.

Les morts, Zwelaylù les connaissait. Les morts aimaient Zweilaylù, à cause de ses pouvoirs peu gardés.

"Qu'est-ce qu'on psalmodie, cette fois-ci ? Qui est-ce qu'on vénère, pour la première fois dans l'Ère ? Sur Exyl, tout ne tient qu'à un fil !"

Un des nombreux atouts de Zweilaylù était qu'en prononçant trois phrases qui riment, un bouclier quasi-indestructible se dressait devant elle.

Car on ne sait jamais ! Et si l'ombre était maléfique...comme elle ?

L'ombre eu un sursaut, elle était très concentré sur ces incantations et mit fin immédiatement a ceux si. L'ombre se retourna vers la jeune femme et elle put alors remarquer qu'il s'agissait d'un adolescent qui avait portait un masque qui recouvrait le coté gauche de sa figure. Il était en acier et reflétait la lueur de la lune. Il s'adressa a elle avec une vois qui était forte et qui inspirait le respect.

"Je ne psalmodie pas, mais se que je faisais de te regarde pas plus. Toi que fais-tu ici? Il n'y a pas beaucoup d'habitant de se coté de l'île que ne connaisse pas. En réalité il n'y a personne qui vie ici. Mais une autre question: Depuis quand m'observes-tu?"

Kal'Torak regardait au alentour pour savoir si elle était accompagnée.

"Que sais-tu de la lune?"

Torak avait fait un pas dans sa direction et ses bras entier disparurent sous sa cape. Son visage avait passer de la surprise a la colère retenus qui n'attendait rien pour détruire le barage qui la retenait.

Zweilaylù se sentait une fois de plus obligée de raconter son histoire, ou au moins une partie. Celle de son destin qui a pris une tournure bien différente. Car après tout, elle avait échappé au titre de Prêtresse de la Déesse de la Lune !

"Bon. Ne me prenez quand même pas pour une folle, une cinglée ou une menteuse, mais croyez-le ou non: j'aurais pu être prêtresse de la Déesse de la Lune."

Elle fit une pause, toujours bien appréciée avant d'autres moments révélateurs, puis continua:

"Je suis née sous la Lune. J'ai grandi sous la Lune, sans jamais voir le soleil. J'ai passé toute ma vie entière à observer la Lune et écouter ses plaintes sourdes qui s'entendent dans la plaine. La Lune, je la connais mieux que tout ce que je connais dans ce monde."

Et c'était vrai. Zweilaylù aimait vraiment cette île. Ou elle n'avait pas besoin de s'enfuir dans un palais sombre ou de passer dans des souterrains pour échapper à la lumière du jour. Ici, elle était libre.

Pourtant, elle n'était pas plus libre ailleurs. Seul ici, la liberté n'avait pas de prix pour elle.

"Prêtresse de la Déesse de la Lune tu dis? Je ne connais pas cette déesse, elle doit être insignifiante si je n'en es jamais entendus parler. Elle doit surement être banis du pantéons pour qu'un titre aussi haut me soit inconus. Mais répond a cette question: es-tu seul?"

Torak possa sa question tous en contuant a regarder autour de lui. Il était sur qu'elle n'était qu'une diversion et elle pouvait même être avec eux. Il semblais nerveu. Ces mains était toujours sous sa cape qui couvrais tous son corps sauf sa figure a moitier disparue sous son capuchon et ses bottes qui était salie de bout et d'épine de sapin dans celle-ci.

Zweilaylù n'attendit pas trop pour répondre à la question de l'homme.

"Ouais. Je suis seule. Et très vulnérable, si vous voulez savoir !"

Si jamais l'homme désirait voir la Déesse de la Lune, il n'avait qu'à regarder en face de lui, sur l'astre gros et brillant, immaculé qui se tenait au-dessus de l'océan noir.

"Le Panthéon ! Ma déesse n'a pas été bannie, elle est juste une déesse à part. C'est la divinité de ceux qui croient en la Force de la Nature la nuit venue. Elle règne sur toutes les créatures nocturnes."

Même si elle s'était quelque peu emballée, Zweilaylù assumait bien ses propos. Et en plus, comment une déesse aussi puissante que celle de la Lune aurait à faire au Panthéon ? Elle devait plutôt être la déesse de toutes divinités, car c'est la Nuit qu'on a créé le monde.

Torak sembla être soulager du fait qu'elle soit seule. Mais qu'elle est dit qu'elle était vulnérable n'imspirait jamais confiance, habituellement c'était une ruse pour amadouer une proie.

"Une déesse apart dis-tu? Et en plus elle règle sur toute les créatures nocturne? Je ne crois pas que se soit une très bonne idée de venir sur cette portions de l'île. Tu es vraiment insoussiante et surtout de venir seul et prétandre prier une déesse qui n'existe pas. Ou pire encore qui défend les créatures de la nuit."

Torak ne bougeait que les lèvres pour parler il avait cependant cesser de regarder au alentour et avait toujours les bras,qui disparaissait sous sa cape, croiser sur son torse.

Zweilaylù, lorsqu'elle sentait sa fameuse colère dangereuse, préférait s'en sortir avec quelque chose de totalement ridicule. En fait, c'était une technique qu'elle avait mise au point pour ne pas entrer dans une furie dévastatrice.

Elle éclata littéralement d'un grand rire. Un rire à la fois haineux et joyeux. Un rire qu'elle ne faisait que pour se sortir de situations malencontreuses.

"Elle n'existe pas, vous dites ?"

Zweilaylù se tourna vers l'astre de la nuit. Elle ferma les yeux et l'atmosphère s'alourdit.

"Déesse vénérée de toute vie nocturne, ô toi déesse cachée du grand Cercle Divin, je t'appelle par ton véritable nom, montre-toi à ceux qui ne croit pas en ton pouvoir !!! Entend ma voix !!!"

Un sourd séisme parcouru les terres de l'île. Des chauve-souris sortirent des nombreuses grottes. Elle tournoyèrent autour des deux personnes. Une voix grave féminine entonna une chanson en elfique. Tout les vivants accompagnèrent la voix en grondant.

Oui, la Déesse pouvait en faire plus, mais son pouvoir restait limité face à son ancienne prêtresse.

Torak parut surpris par cette démonstration de puissance dont il n'avait pas l'habitude. Il fit un pas en avant et regarda les viles créatures qui les survolaient. Il semblait inquiété par tant de créature nocturne. Il fixa la prêtresse et lui accorda plus de crédit qu'avant.

"D'acord, elle existe peut-être. Mais arrêter ces créatures immondes."

Zweilaylù se sentait en parfaite osmose avec sa déesse, chose qu'elle n'avait pas ressentie depuis fort longtemps.

"Allons, détendez-vous. Ces créatures ne sont pas si immondes qu'elles en ont l'air, mais puisque vous me le demandez !"

Elle plaça ses lèvres dans un position spéciale, puis émit un sifflement long mais subtil. Les créatures partirent vers leurs endroits respectifs.

"Ça vous va ?"

"Oui très bien"

Torak remarqua ses canines prononcer qui apparûrent quand elle ordonna au chauve-souris de retourner à leurs nids. Habituer à ces genres de démonstration de la part des semblable au longues dans, qu'ils les appelaits. Il sembla soudainement tranquile. Il sourit et la regardait maintenant d'un nouvelle oeil.

*Une autre vampire. J'aurais dut m'en douter. Je me suis laisser avoir.*

"Jolies dents que tu as. Je comprends mieu pourquoi la lune t'intéresse tant. Elles te sont utile?"

"Pas souvent, très cher. En fait, je suis une Elfe mêlée à du sang de Vampire. Je ne bois que quand je vois du sang."

Zwei avait été victime d'une transformation radicale: la Nature l'avait reprise sous son aile ! Son masque était tombé, ses longs vêtements beiges aussi. Ce changement l'avait mise très heureuse. Et ses yeux voyaient maintenant parfaitement ! Sauf que son Oeil du Diable avait pris une teinte rouge et que l'autre n'avait plus de pupille.

"Je vois, tu as certains pouvoirs surprenants pour un vampire. Mais malheureusement cela ne te sauvera pas. Il ne te reste qu'une solution rend toi!"

Il lui lança un regard de fer, il était remplis d'une volonté cruel.

Il avait fait disparaître ses mains et tous ses bras sous la large cape qui lui couvrait les épaules.